• Ce mot ne vient pas de moi, mais je l'ai tant entendu d'une bouche que je n'arrive plus à utiliser le mot adéquate pour parler de cette animal.

    Un n'éffet lent...

    Je trouve ça tellement mimi...


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  • "C'est le moment de croire que j'entends des pas dans le corridor. Se dit Bernard"

     

    Je file vérifier l'exactitude de cette citation de la première phrase des faux-monnayeurs d'andré Gide. Qui me trotte dans la tête un peu trop souvent.

    J'entends la porte claquer, du 3 ème, sous le vent glacé, fenêtre pas si bien isolée...

    C'est vérifié : à part la ponctuation, c'est bon !

    Je m'ennuie et j'ai froid. Le bâillement arrive et me dit d'aller songer à m'endormir tranquillement.

    Mais parler pour ne rien dire, est une si grande passion. Vous connaissez le baillement grincant ? Il me fait froncer les sourcils..

    Ensuite c'est au tour du baillement-craquement-de-marchoire.

    Je me veux silencieuse, mais mon corps est assez bruyant finalement...

     

    Bonne nuit !

     

     

     

     


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  • Il était une fois une prairie.

    Tout autour une délicate ligne d'arbre prônait.

    Enfin ce qui les traversaient ressemblait à une rivière.

     

    Qui fût l'individu aux pieds d'argents ?


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  • Quelle vie dure sans ordinateur, sans maison stable, sans biens bref tout cela pour constater mes blogs fantommes; en même temps j'étais inactive et en échanges restrictifs. 

     

    Je n'ai pas grand chose à partager à part ces quelques mots, histoires de ponctualiser le temps. 

    Mode de vie changé, adéquation en toutes circonstances ! A vrai dire, j'ai passé 4 mois à ne que dessiner, jour/nuit ... Alors j'ai de la matière...en plus du génie (oups jvais trop loin, mais c'est pour m'encourager)

    comme je n'ai pas de PC, je ne sais quand sera ma prochaine apparition à part -ce soir- mdr 


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  • Ecrire pour écrire c'est un peu triste :

    Ces temps-ci je suis sur le dessin et la vie social; c'est à dire que jusqu'à ce soir j'enchainais les "soirées" avec divers individus. 

    Quand on a rien à dire, faut-il autant raconter sa vie actuelle, alors passons. Contemplons ce que le creux de ma personne peut sortir :

     

     

    Trop de pression, je me suis tu un moment, Silence 

    Arretes donc de discuter si tu n'as pas grand chose à témoigner. Mais, les témoins m'agacent, et autant les observateurs racontant leur constatation que les actionneurs. Jalouse car je ne fais rien, jalouse parceque je m'ennui et que tout me lasse : tout comme aligner des mots que je ne maîtrise pas; je voulais dit plus tôt après une période sociale me voici seule, m'ennuyant en regrdant un film, en mangant, en nettoyant, en rangeant, en écrivant. L'ennui est-il si dure quand il se superpose à toute les activités. Je m'ennuie de mes pensées trop lentes restructurés milles fois avant la pensée-présente.

     

    Evidement j'hyperbole le tout, je suis fatiguée et léssivée de la vie alors que je ne fais rien.

    Je me fais bien rire avec mes propos ridicules. Moquez-vous. 

     


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