Je pose des mots qui ne me soulagent pas assez et je m'obstine à les répéter jusqu'à obtenir un brouillon mélange. 

J'ai déjà parler du serpent qui se mord la queue ? Eh bien l'image est connue 'nest-ce pas ? A tel point qu'elle est venu s'insurger à mon esprit pendant ce qui ma sembler plusieurs minutes. Cela m'est arrivé, un jour comme un autre (je ne sais plus lequel et ce n'est pas important) Maintenant, il y a un rocher dans mon jardin de la tête, avec un serpent vert qui se mord une de ses queues. Il en a deux autres sur le dessin fait à la va-vite après le bug de la pensée qui regardait un serpent se mordre la queue autours d'un rocher. 

On peut y mettre d'interessante interpretation n'est-ce pas ? Entre se mordre la queue, et les deux autre en parralèlles (ou perpendiculaires je ne sais pas trop) qui ne sont pas mordu. Plusieurs chemins ? 

Je ne sais pas si j'ai deja parler de ce serpent, mais lui m'a fait du bien, il est encore là donc je suppose qu'il doit évoluer encore, pour l'instant c'est mon pote. 

Bref je dénoue le noeud de temps en temps, mais nous savons bien qu'un autre se fait à notre insu. 

Entre tourner en rond dans un temps chronologique, que de tanguer entre plaisir de la vie et desespoir ? 

Encore que j'ai tellement d'espoir qui me maintiens dans une vie que cela me déséquillibre assez ? 

Tout d'abord, OB c'est un personnage clé d'une histoire qui me trotte en tête et qui évolue chaque jour. 

Néanmoins, il y a une trame plus ou moins réaliste. C'est l'histoire de quelques gens. 

Un jour OB se fait manger par une créature fantastique sauf que je ne veux pas inserer trop de "magie" dans l'histoire... 

J'ai tout de même penser fortement à cette bestiole = la mentollai. Très particulière bestiole qui vit en se nourriissant de tout et n'importe quoi. Ce qu'elle ingère ne se contente pas de mourir, 'les meilleurs attout'' prennent place psychiquement à l'optimisation de l'organisme et du comportement de l'individu mentollai. Aubélia atterit la dedans (elle croise même un poto) 

Bon, raccorder cette race animalière n'est pas difficile, une région de mentollai au Sud de la ville d'Aubelia, il ya même des "lois de pacification" les mentollais mangeront ce qu'elles ont besoin. Tout va bien tout ces faits ne seront pas dans l'histoire d'Aubelia, je mettrais un point avant qu'OB ne se fasse graille. 

Ce récit fantastique, gargantuesque d'Aubelia est parallèlle. Je ne m'occupe pas de ces bestiolles. Tout vas bien n'est ce pas ? 

Je disais la mentolais capture des consciences et metamorphose sont corps. Très instable n'est ce pas ? 

Pourquoi Aubelia se fait manger ? Elle est cella qui n'arrive pas à evoluer dans l'histoire, elle est bloquée dans sa cube. C'était seulement pour son évolution propre qu'elle se fasse "tuer". 

Enfin. 

Tout me ramène et ces bestioles les mentollais. J'avais d'autre problème comme les "immortelles" qui traînent, les vampires qui grandissent et stop leur croissances à differents ages. 

Alors, ce qui m'a fait vous parler d'Aubelia c'est lorsque je réfléchissais à comment Lisy a-t-elle viellit en même temps qu'Amy si elle a renier son sang enfant ? 

Comment son père parait plus vieux, et ses ffrères plus jeune ou plus vieux. 

Bref, je vous passe mon tournage de pot. Les mentollais sont une dérivation des "vampires" 

Entre les vampires qui ont aimer une humaine ---> Le père de Katrin 

Entre ceux qui ont changer de régime alimentaire. 

Lentement doucement l'évolution. 

J'aime bien les gros mélanges même si ca finit en caca d'oie. 

"Evenement chrono—logique cohérent" pour réduire cela. Enfin, vous voyez le temps, vous connaissez ce concept et ce mot. 

Hé bien, n'est-ce pas tant une décomposition très étrange ? 60 secondes ok 24 heures , le cheminement du soleil d'Est à Ouest , La Lune. 

Des mathématiques de la physique ? 

Miss Météo. 

Le temps, le temps, moi j'attends tout le temps, j'attends. 

Les heures filent sans cesse, sans arret, moi je m'arrete pourtant. 

Le temps continue, il file. 

Et moi, je cesse, je contemple je me suspend 

Entre trois souvenir d'une experience imaginaire

Des rêves qui joue de la réalité, et qui rendent un sentiment atemporel. 

Un etre atemporel dans un monde temporaire ? 

Excusez excusez, vous savez Socrate il me répète, le script, qu'on ne sait rien. 

Alors tout les jours je joue au sceptique et me voilà à douter de la nature des règles qu'on nous inculpte, mais, ces règles elles m'ont faites. Et les règles on les à faites. Le temps, est indépendant de nous, on le constate et on le nomme et définit ainsi. 

Le temps, ca me travaille mais je ne sais pas quoi en penser, je ne sais pas ce que je pourrais y associer. 

Et le monde dans nos crânes n'est-il pas autant important ? Je pensais que tout le monde galoper sur son cheval dans sa tête. Mais j'ai appris qu'on etait different. Alors chacun voyage à sa facon. Il y a des facons de penser plus efficace que d'autres ? Charpenter la pensée des autres, charpenter la sienne. 

Changez une personne. Se laisser changer par quelqu'un. C'est un peu le principe des vies sociales, échangez ses manières de vies. 

Il y a des facons de penser plus efficace que d'autres ? On essaye serieusement de s'élever ? Ah, c'est vrai il y a de mauvais evenements qui nous touche et nous blesse, parfois on arrive pas à surmonter je suppose ? 

Je devie de ce que je voulais parler, je m'arrete. 

Vous pensez à quoi à propos du temps ?

Tableau de la cig-drogu : 

Tout dit que ce n'est pas bien non ? 

C'est peut être juste l'abus, j'ai de nombreux raisonnement comme "de toute facon, avant ma voix n'était pas vraiment jolie, et pour le chant même les fumeurs se sont seulement entraîner alors 

Et pour la course c'est pareil, le fumeur , fume pas 5 min avant de courir, et s'est entrainé souvent pour courir. 

Fumer au quotidien ne sert à rien

Mais vous savez, avoir un accès quasi illimité, tente parcequ'il n'est que quasi... [Je présente mon retournement de situation, je le pressens si imminant, que je me gaze pour le rendre encore plus cruel. Il faut que j'avance, j'attends tranquiillement la claque de ma vie, ou la poignée de main. 

Pitoyable et ramassé, on verra bien. Tant que mon âme s'accroche bien à ce pauvre corps meurtrit pas sa colocataire d'âme. Je vous jure, mon ame n'est pas policière, mais plutot egoiste, sous prétexte que ce corps ne se manifeste pas tant, il se fait piétiné par ma conscience.

Mon âme d'enfant égoïste... Je me demande si elle a une souffrance. (Rho, jsuiis sure que ci, je n'y pense pas par censure de vulnérabilité; mon âme doit sans doutes souffrir d'être faible ? ) 

Oh, et puis j'ai inversé la méthode de l'excellence, ma méthode est plutot nulle à chier non ? Je m'entete à continuer, comme si mes sentiments particuliers aussi général soit-il ; trempés de sincérité et de mensonge, comment s'en sortir ?  Vous êtes humains aussi non, mes sentiments ne sont pas incompréhensible n'est ce pas ? 

Si "non" ma personne particulière serait bien plus intéressante ? Peut être pas.

Je ne veux pas dire que tout tourne autours de moi, ou alors je le camoufle sous le faite que, tout tourne autours de nous. 

J'ai bien conscience que je ne suis pas particulièrement particulière. Je fais parti d'une généralité tout en ayant conscience du taf que j'ai à faire dans ma tête. 

Maintenant, allez vous en. Ou dites moi : Il faut vraiment s’efforcer à faire des choses ? Il faut vraiment s'éssoufler ? Il n'y a rien de inné ? Dites moi, dites moi j'écoute; j'adore les interactions sociales, je ne sais juste jamais comment communiquer clairement et simplement) 

Le probleme principal n'est pas loger dans mon cerveau. C'est en partant de là qu'objectivement le probleme reside pourtant (dans le faite que ce n'est pas de l'ordre de l'intelligence) 

Même si ces lacunes sont une torture pour moi.

Un problème de ma vie, depuis pas mal de temps,est ce point qui n'a pas évolué (ou très peu, ou avec des hauts et des bas : 

C'EST MA FUCKING COMMUNICATION AVEC LES AUTRES

Disons que des fois, ce serait purement volontaire et personnelle (et déjà se fermer soi même au monde c'est un peu egoiste ? Mais les raisons ne sont pas egoistes evidement, disons que dans mon systeme mentale de règle et courtoisie, il y a certaines choses qu'il ne faut pas dire  sans non plus mentir, alors vraiment ma solution, ou ce que je m'entête à faire = ne rien dire (cela aurait rapport avec mes propres sentiments, refoulée ouvertement. ) 

Et même lorsque je ne fais pas attention, par négligence, au tant professionnellement que socialement. 

Encore que être quelqu'un qui "ne dit rien" ca peut encore évolué, ca peut encore éclaté, ca peut encore même être quelque chose d'amusant (non non)

Evidement je parle, et je ne tiens en rien à ma ligne mentale de conduite : je mens , je mens pas... Je donne de mauvais conseils, de très bons. J'impressionne ou me cache et parait insignifiante. 

Bon, ce n'est pas crise existentielle, je suis en paix quant à "exister dans ce monde"  crise sensorielle... crise caracterielle ?  

Bruh, l'être humain change sans cesse, alors, j'ai confiance en mon potentiel d'envouetement social. J'ai confiance.. 

Il faut que je me bouge mais sérieux c'est pas censée être innée la répartie ? (Non non ca se travaille me dit l'un de mes avis possibles)