J'ai froid.

Hier j'étais de bonne humeur, aujourd'hui moins. J'ai fais presque tout ce que j'avais à faire. Disons que si l'on poussait le raisonnement de ce qui me tracasse, j'irais dire oui dans les profondeurs des faits je suis effectivement plutôt dans la partie "coupable" plutot qu'innocente. Le premier abord aussi semble m'accuser. Disons que j'accepte de tenir la responsabilité dont je me pense être "responsable". Au millieu de tout cela, je suis assez dans une innocence, et le coupable n'est pas Moi, c'est le temps qui filent le coupable. C'est les minutes qu'on a décidé l'usage et sa croyance presque-absolue.  C'est simple je n'ai pas confiance dans le "temps" , 

Chronos. 

Bon, dans l'histoire qui me tracasse en réalité il n'y a pas de coupable, on me rend coupable je le pense un peu, d'autres sont autant impliqué et coupable. Tout le monde est tiraillé entre "le bien et le mal" (je crois, détrompez moi si vous êtes tout entier bon ou mauvais) 

 

La communication devrait être mieux considérer, certain manie mieux les mots que d'autres. 

Ma parole prend tout bien mes pensées soupçonnent et accusent. Moi je suis dans une contradictoire réél-imaginaire et c'est dommage, il y a juste une frontière tacite à éclaircir juste à peine. Juste assez pour l'apercevoir, sans trop s'y approcher pour ne pas succombez ou devenir tiraillé. 

Un jour il y a une fille qui m'a inscrit des souvenirs dans ma tête. On a vécu par trois phrases une espèces d'hallucinations communes, chacunes alimentaient. 

Sur un mur, debout. 

La frontière.

Si un tel lieu existe, pourquoi ne pas y aller ?  On est forcément poussé à visité la frontière, ce lieu étrange qui tangue entre la réalité et des pensées trop soudées, trop mécaniques. 

Si on y va on se perd encore. Y-a-t-il un lieu sure dans le monde imaginaire ? Moi, quand je me promène dans ma tête, dans des lieux plus ou moins délimités que j'eai décoré moi-même, j'y ai même embaucher un personnel de "sécurité". Et même ceux la je me méfie. J'irais pas àà dire que je me méfie de moi, mais dans le monde réél il y a des gens qui font peurs. Dans ma tête j'ai projeté des autres humains, il serait normal qu'ils me soient surprenant. 

 

Vous voyez, je suis dans une moins jolie humeur qu'hier. Je n'ai pas encore le mot pour la décrire. J'ai pensé à "moite". Mais ce sont mes manches trempés d'eau qui me fait moisir exterieurement. Il y a bien des trace d'humidité et de moisicure dans ma tête, on me la déjà dit : "Nettoye tout ca ! Ca va moisire" en parlant bel et bien de mes pensées n'est-ce pas. 

Le "Je me sens moite." s'obstine tant pis, je suis sûre que mon âme n'est pas moite peut être dépassé ? 

L'esprit lent concorde. 

 

Disons que quand je me sens coupable, que je le suis et qu'on m'accuse, combien même je m'en veux un peu et que j'suis un peu triste quand je me sens pas trop coupable et que je ne le suis pas trop et qu'on m'accuse, je le prend pareillement j'ai mes remord dans ma tête, mon visage déprime arrive-t-il que je sois accusé à tort ?

On ne m'accuse pas trop géénralement, vu que j'étais une petite fille gentille et mignonne. Je dois l'être moins, du coup on commence à m'accuser. 

Avant, ils n'étaient pas très futé ou j'ai perdu de mes talents sociaux-serenités.

La sérénité me manque. C'est difficile de vivre avec des gens colérique, ou cotoyer des tempérement qui s'impose un peu trop proche. 

La sénétié me manque, mon papa ne criait pas, ne frappait pas. Ma mère un peu plus froide, ne criait pas, ne frappait pas. Mes frères étaient de calmes et intellectuelles petits garcon (il y en a un qui a dévié de la studieusité, j'ai suivi son tracé :( ) Sénéité famillial. Le père de mon père est le plus calme de tous. 

Je crois que j'ai si peu entendu sa voix que je ne saurais me la pensée. Par contre c'est  celui qui se fait le plus respecté. Sa femme, ma grandmère, est calme et intellectuelle elle aussi, du style "oh j'étais la plus intelligente de mes soeurs, je m'amusais à faire des concours d'algorythme, et tu sais le père de (Du besta a mon dar wallah nous on a des amitié sur des générations) il était toujours premier et moi deuxième) Bizarrement, mon père a très vite stop étude et ses gosses sont pas si brillant que cette grand mère (Faut toujours un ou deux enfants un peu plus intelligent que la fraterie ufufu) 

C'est marrant comme j'ai la haine de savoir qu'il y a des gens plus intelligent que d'autre, et que je ne fais rien pôur au moins me ciultiver correctement (C'est pas inné ? C'est pas pour moi ! Je vais devenir une "adulte" idiote, Ufufu les imbéciles sont heureux non ? (Dans mes bons jours, je suis très heureuse, je dois être proche ) 

Je m'enfonce ainsi pour revenir sur le faite que je vais parler en deux mots sur la famille de ma maman (ils sont plutot rigolo ceux-là ) Pour le coup je dirais l'intelligent de cette partie là, c'est le petit frère de ma maman, je ne sais pas jauger l'intelligence parcequ'en réalité l'intelligence est un peu complexe à expliquer, à détailler, enfin je veux dire je ne sais pas ce que c'est, mais prenons le comme un trait de caractère ? un peu caractérisant. Par ex mon frère est intelligent, selon ses qualités d'orateurs, de maitrise pointilleuse de pas mal de sujets, d'une élasticité de réfléxion et de ces conséquences assez "génialissime" (J'dis pas que c'est un génie, il est juste pas con. Alors que pour ma part le curseur est un peu plus centré que celui de mon frère, à mon humble avis évidement) 

Bref, mon oncle porte aussi certaines caractéristiques, mais pour le coup lui est souvent calme mais parfois à des moment de colères, tout comme ses parents qui sont plutôt aggressif que passif. Combien même ils sont des personnes relativement respectueuse et calme. 

Mais vraiment, à part ces deux là et demi. J'ai une famille de tempérement PASSIF. 

 

Donc, je comprends aisément mon abscence de crise de rage. Je m'énerve pas moi. Il y a des choses qui me soulent prondement, mais je vais pas hurler ? 

Après j'ai d'autres émotions qui sont plus ou moins fortes ou faibles autant selon l'émotion en elle-même que les circonstances.

Aujourd'hui je suis un peu triste, un peu fade, un peu désamparée

Hier j'étais vivace assez heureuse et même sûre de moi. 

En terme générale, je suis plutôt heureuse "par défaut" et quand il arrive un événement triste je le deviens. 

La question est : Est-ce que je suis vraiment heureuse par défaut ? (Pour vérifier il faudrait que je me surprenne heureuse, assez difficile ? )

Sachez maintenant, que j'ai un magnéto depuis peu (je m'entraine à parler parceque je me fais pitié oralement) et du coup bien évidement je me raconte ma vie. Et lorsque j'écoute ces enregistrements, comme lorsque je lis ce que j'écris, je me découvre. Il y a une petite différence : Lorsque je laisse défilé le magnéto, parfois j'oublie ou me rapelle et pense à voix haute. Et comme je parle beaucoup plus quand je suis seule qu'avec des gens -C'est que j'ai pleins de choses à me dire-  et bien, de cette manière je déniche des morceaux de "bonne humeur" 

 

(Comme je mytho à1/4 dans ce pavé je le laisse D: A vous de croire ce que vous voulez) 

(Askip on a trop facilement confiance aveugle en ce qu'on lit, autant dans un bon roman que dans un banale magazine, on se méfie des journaux mais faut se méfier m^^eeeeeme de moi et toi et lui et elle 

(Eurf quand je parle de se perdre dans l'imaginaire, c'est bien de mensonge et de situation  comme par exemple j'ai lu récément pour un JDR un peu soécifique (je sais plus nom omg c'était un pdf) bref, du "parano" et c'était si complet que j'ai projeté un personnage avec cet etat d'esprit pour le jdr en question et du coup je le mélange avec mes sentiments )

(Je ne suis pas aurtant parano, un peu) 

 

(omg tg) 

 

(je suis sure que c'est rigolo les parenthèses qui se suivent) 

 

(j'y peu rien, c'est ma signature des textes qui ne veulent rien dire et qui font perdre au moins 3 minutes de vies) 

 

(Le temps c'est pas bien, ne suivez pas la ligne du temps et n'ayez pas trop de confiance uuhuhuh (enfaite je suis sure que cela ne changeraient rien de toute facon) 

 

 

 

 

Pour je ne sais quel raison, le soir je rêvasse, écrits, joue sur mon tel, chante dans ma tête jusqu'à l'épuisement et que mes yeux ne peuvent plus s'ouvrir, et que seul avec moi-meme je m'emporte vers des constructions de rêves, une salle de jeu ? 

Bref, me voilà dans un état de fatigue extrême à tel point que les ronflements des chats et de mon copain me disait des mots bien malveillant. D'abord j'ai sursoté "Omg j'ai une voix de pensées aussi monstrueuse ? " (Il faut dire que je faisais des vocalistes dans ma tête...) Mais comme je ne vocalisait plus je prête l'oreille et je crois encore déchiffré des paroles, je me souviens que je ne suis seulement que très fatiguée de me sentir coupable de respirer. (Ca me rapelle les "micro-bad-fumette" ou les sons se distordent dans la tête, et l'esprit essaye de rattacher à des choses concrète, et comme malgré ma grande méfiance et ma retenue je me soupconne sans cesse d'un mauvais pas. Parceque je me connais et que je sais comme je pourrais être vile. 

Enfin bref après avoir établis que ce n'était que des ronflements mon esprit a stoppé le décryptage inutile. (Je tend l'oreille la nuit car mon frère parlait dans son someille, mon copain aussi et curieuse comme je suis j'aime déchiffré leurs paroles parfois presque censé ? 

My bro (qui rentrait d'un très long séjour en allemagne (on s'était retrouvé dans la même chambre, je ne sais plus ou) : "Nein.. nein  [charabia rapide au sonorité allemande) stehle" Oui oui ce gars là fracophone de naissance, rêve en allemand (je suppose que c'est à cause des 6 mois) Pour la traduction de mon ionterpretation phonétique = Nein = Non / Stehle = Enfaite j'ai pensé à "voler" commme l'oiseau, mais sa prononciation était vraiment rapiiide... ca peut être Stellen = demander/ presenter c'est un peu un mot four tout selon le préfixe etc (Ca fait longtemps que je n'ai pas parlé allemand donc complex Oo ) 

Breeef voilà voilà faut bien dormir sinon quand on se sent coupable on entends nos procès dans les bruits du métro ou dans les ronflement de son aimé... 

 

(Metro est une allusion au micro-bad-fumette :  Omg les escalators... les gens, les bruits des portes, c'était un peu dure de paraitre pas pâle de vigeur :')))) )

[La fumette c'est pas bien, encore moins quand on se sent coupable de vivre donc petits humains, misérables humais vous ne devez pas vous amusez avec la fumette  ni le reste d'ailleurs o/ ] 

 (Heureusement que j'ai une vie facile sinon comment mon tempérament aurait tenu )

Premièrement mes souvenirs sont flous et c'était après un court réveil vers 7 h -le rêve- et réveillé vers midi. 

Le cadre était un peu étrange, Il y avait un tapis d'eau profonde. Dans mon rêve aussi j'avais peur (Je suis IRL très malaisé dans l'eau, je ne sais pas si c'est la suffocation ou les profondeurs [La suffocation ] )  mais il y avait un garcon blond avec moi -j'ai d'abord cru que c'était un de mes ancien grand Amour- alors je l'écoutais et faisais plus ou moins ce qu'il me disait sans réchigner. Je ne me souviens pas de notre discussion, mais j'étais distraite et je faisais tomber distraitement des objets dans les profondeurs, tout le long de la conversdation. Un moment, il s'amuse avec un masque de plonger, et me vient l'idée de lui emprunter pour regarder ce que j'avais fais tombé. 

Je le met et regarde les objets, je tend la main et ramasse ceux que je vois. 

Toujurs dans le même decors, bassin à l'eau, et corps à un étage dans une sorte de mezannine, j'étais avec ce garcon, et je me souviens de ces yeux bleus. Et je commence à douter qu'il fut de mes amants. Je me demande si c'est moi, après tout j'ai les cheveux courts et les yeux bleus, je ne me regarde pas beaucoup pour savoir à quoi je ressemble d'un autre point de vue. Et je regarde ces yeux bleus, très different des miens. 

Mes yeux toujours très dilatés sont bleu clair et ont un coutours bleu foncé, je le sais car mes deux frères ont le même style de yeux mais d'autre couleurs, un a un contours marron et interieur marron-clair, presque j'aune selon la luminosité, et l'autre de nuance de vert, avec un coutours sapin. (Signe très distinctif mais qui attache un lien de fraternité, c'est fou non ? ) Bref, le blond de mon rêve, avec les yeux clair mais avait des petites formes dans les yeux, je ne peux plus les décrire, mais je les ai contemplé et me suis rendue comtpe que ce n'était définitivement pas moi mais bien quelqu'un d'autre. Il jettait des regards à l'étage d'en dessous (je crois que c'est à ce moment que j'ai compris qu'on était à un étage) 

Ensuite je ne sais pas bien ou se mêle cette scène, mais toujours en étant plongé dans les yeux du garcons, le carnet que je tenais en main glisse sous l'eau. Je ne crois pas que j'y sois retourné. Le garcopn regarde trop en bas, ca me distrait de plus en plus, il semble inquiet. 

Je veux partir et lui dit, lorsqu'il me demande pourquoi je ne lui répond seulement, droit dans les yeux "Si je reste plus longtemps je vais tomber amoureuse" 

Et je me reveille sur cette dernière note. 

 

J'étais un peu intrigué, je reflechissais à ce blondinet au yeux bleus, un peu trop captivant... Le garcon dont je faisais allusion c'est une vielle histoire, nous n'avons qu'été de très bons amis, on s'est compris sur plusieurs points, je l'aimais tellement fort d'amitié, que ca débordait d'amour ahah, mais petit à petit ca s'est envolée, je ne sais plus bien comment ou pourquoi. Pas de regret maintenant je suppose qu'on a une sorte de complicité quand par hasard on se croise bourrées dans une place de la ville (C'est très rare!) 

Après, j'ai pensé à lui dans mon rêve (ou entre mon reve et mon reveille) mais n'en suis tout de même pas certaine, je sais que dans mes rêves je melanges souvent pleins de choses dont des humains avec d'autres humains ou avec des objets randoms. Donc il peut très bien être "plusieurs choses"

Si l'on avait toute les ficelles de son cerveau ca ne seraiot pas bien interessant ahah

(je met ce rêve dans besoin d'attention, puisque tomber amoureuse dans son rêve...c'est un peu.. un besoin de s'attentionner à quelque chose non ? 

 

 

 

Je voulais pas en parler du confinement, trop actuel pour moi Huh, j'en suis au dessus. C'est à cause des gens comme moi que ca se perpertue ? 

Non, voyons, je ne suis sorti que pour petites affaires, et je n'ai pas touché d'autres humains. Il fallait juste que j'aille prendre des vivres chez mes parents (J'ai plus d'argent... et ils sont trop pauvres pour m'offrir un petit cheque avec plusieurs 0, et je ne taf plus, mon dernier contrat a fini janvier. Situation, peu comfortable. 

Alors, je suis déjà dans un conflit. Le confinement renforce ma periode de conflit, c'est embetant. 

On ne peut pas faire y grand chose, mais mon quotidien ne semble pas être changé. Je vais probablement mourir de faim si l'on reste 1 mois cloitrée. Pourvu, que mes rebelles d'amis passent me rapporter des vivres. 

Je ris, ma situation n'est pas si complexe. 

Internet. Pasta-Patate, eau, toiture. Chats + un lovely boy. 

J'ai une amie qui a deguerpi à la campagne, j'aurais voulu faire de même, mais il semblerait que je suis encore emprisonnée paer ici; Je voulais profiter de cette periode tropuble pour regler mes problemes. 

Mais l'argent, c'est complexe. Je ne suis pas une voleuse, et n'ai jamais developper ce talent alors, le chemin traditionnelle à l'argent estle travail en echange. Mais personne veut embaucher qqn de jeune et incompétante et peu déterminée n'est ce pas ? 

Aussi, faudrait il que je mette du miens. Bon, la periode de confinement ne pourras pas encore developper mon taf. Enfin. 

Mon inexeptionnalité est flagrante, attendons encore. 

Je vais gerer, force à moi

 

 

Ptn, c'est quand même ma vie que j'étale. Tant pis, c'est un défouloir. Si je fais raisonné mes pensées par ici, c'est qu'il y  a plus de reception possible que dans ma tête. Recherche d'attention c'est bien un des thèmes phare de l'humainité, ou au moins de moi ? 

Toujours les même chose partout, je ne suis pas différente, mais j'essaye de m'en sortir avec un peu de superstition. 

J'ai commencé Spinoza, sous un conseil et un extrait par rapport au constante balancement entre crainte et espoir; où se mêle désir et supertition. 

Il est vrai que je suis effectivement, comme surement beaucoup, craintive ou en paix mais l'équilbre à du mal à s'installer. Adequation en esprit et corps. Musclez le cerveau pour qu'il prenne la place de tout l'espace entre celui-ci et sa cage de crane. 

Gonfler tout ses muscles, musclez son corps et son esprit. 

Cultivez sa tête... On a vraiment un estomac de cerveau ? C'est vraiment vrai ? 

 

Bon, il y a des principes que je dois préparer et cracher. 

Je brule tout mes carnets et je reviens. 

Ah j'en ai plus de vide, j'ai oublier d'acheter/voler des support pensées. 

Eklablog = support numérique

Petit à petit ma pensée se structure, cxa se ressent ? Ou c'est encore de la supertition-espoir ou même encore qu'un désire. 

Desirer, c'est la volonter de remplir ce qu'il nous manque. 

 

Ce ne sont pas vraiment mes mots, et je m'en veux de les remanier et verifier que j'ai compris, et verifier si j'y crois ou non ?

 Ce sont les mots du professeur de Philosophie sur Spinoza rapporté par mon amie jusqu'à mon oreille, alors il y a eut un voyage tumultueux mais chacun y ajouter de soi , 

Ces propos, de mon ami s'adequatait à la discussion, puisque nous disions commes nous etions faible, et inconstante. 

 

Enfaite, petit secret sur ma personne. je recois je recois , je m'entours, ou me retrouve entouré de cerveau un peu plus meilleur developpé que le miens, alors je recois des données qui sont peut etre trop mature pour ma stupidité. 

 

Alors, mon environnement m'a remonté, c'est pour ca que je suis un peu plus intelligente que des cons, mais que je n'arrive pas à la cheville de gens réfléchis. 

Ah et il y a la lucidité et l'abrutisme de la drogue qui a déjà tisser sa propore toile dans un coin. Donc mon cerveau est bel et bien demeurant sale, poussiereux.. 

 

Mon etat mentale n'est pas pour autant déplorable, 

J'ai du mal à répartir mes arguments lors d'une discussion ou un conflit. Avoir ce que je veux n'arrive peu. (Manque de détermination) 

Manque de technique

Ce que je veux ?

Delimitons d'abord tout cela. 

 

Je m'arrete ici, parceque je tournerais en rond encore longtemps. Et je ne sais pas bien à quel point ca peut vous occupez l'esprit de lire de la psycholophilosoinfantile. 

 

Bye