• Je parle encore de moi et de moi mais vous savez j'ai de grande ambitions, mais je ne travaille pas mes compétence, je me répète car je n'arrive sans doutes pas à me soulager pleinement.

     

    Je dirais que parfois, on me dicte des mots si juste que je me sens bien après une séance d'honneteté avec moi-même. 

     

    Ecrire c'est cool. Ecrire bien, choisir des mots qui saurait fléchir quelques esprits, rude de travail quand on essaye pas de toute son âme. Alors, peut être que je me trompe et que ma prédisposition n'est pas dasn l'art de l'écriture. J'écris mal, je le redis, puisque je le sais et que je n'en fais rien. Si il m'arrive de m'appliquer, la déformation de ma pensée sauvage se sentirait filtré par un espèce de "sur-moi" Pourquoi on nous bassine avec Freud ? Et si partiellement, (il faut le découvre de soi même, ses idées, lire et comprendre ce qu'il laisse comme ouvrage. ) que , les gens feneant comme moi, retiendront 3 mots clés, et par négligence naitre une croyance eronné ou incohérente. Je souffre de mes sources incohérentes. Je laisse mes pulsions vivre, mais je les interiorise, je les emferme, je les censure souvent. Je ne sais pas ce qu'il faut filtrer. 

    Je suis un être lambda qui se tait. Premièrement je ne veux pas me prendre des taquets apr une phrase mal dite, d'autant plus que je ne sais rien, ou trop peu de chose pour savoir parler d'au moins un sujet en entier. Je ne veux pas me tromper sur les sentiments d'autrui, ou sur une vérité absolu, sans cesse je doutes, sans cesse je ne sais rien. 

    "Pomme ou abricot"  Je n'ai souvent que répondu "je sais pas" ou "comme tu veux" Alors que ca concerner mes propres choix, et qu'il y avait profusion de chaque. Les choix m'embarasse, et je tais mes préférence. Je tais ce que je veux ou souhaite, alors je ne recoit que hasardement. 

    J'ai changé, à force qu'on me réprimende à devoir choisir. Alors, par courtoisie quand il le faut, je veille aux gout d'autrui si j'en ai l'accès dans ma memoire, sinon je suppose qu'un choix de profusion, je peux chosisir selon l'envie actuelle. 

     

    Bref, je suis un humain pas encore accompli, et je marche en attendant de comprendre. Je marche en attendant, et c'est là mon problème. Je ne sais pas qui j'attends, si comment attendre patiamment. Godot ne vient pas. Et personne ne viendra. J'ai une amie qui attend que je me dézzveloppe. Vous connaissez les attentes d'autrui, des proches, d'un patron; tout ces cobntrats tacites ou écrits bien en grand. 

    Moi, j'ai tendance à gacher les attentes, je ne me sens pas capabnle et j'abandonne.

    Je crains comme humain, mais je sais que l'on change assez rapidement. Et je sais que je craind moins qu'avant. Et je sais que même quand j'ai des réactions qui craignent, et que moi même me juge, il y  a des personnes qui nosu regarde mais qui continue, parceque peut etre dans un autre domaine, eux craignent, ou par bienveillance ou par aveuglément,t et vision des choses. 

     

    Enfin, je crois que je pars dans tout les sens, et je parles de moi, de comment je rtéfléchis, et de comment peut être autrui réfléchis. On doit avoir un lien au niveau des cerveaux non ? On fonctionnes assez similairement ? Même si l'ont arrive à en démarquer les limites, de part nos corps distincs, un ensemble de matière tout relier par des os, des veines, et des pensé qui colle à la peau. 

    Corps et âme... Il faut à tout pris que je lise de la philosophie au lieu de raconter des phrases qui me viennent à moitié réfléchis.

     

    Lucidité maladroite ou Procrastinante ambition ?  

     

    Je me juge, et ne suis pas encore en paix. Mais je ne me déteste pas tout les jours, parfois je m'aime comme ma meilleure amie. Des fois, je ne craind pas, et des fois avec le flots de paroles et d'absurdité ressort des trésor. 

     

    Il faut juste que je sorte de la procrastination. Quie je m'en échappe, et au passage ne plus mettre les pieds dans ces sociétés d'humains. Je me réincarnerait en chat, ou en herbe sauvage ou en molécule aqueuse, l'on verra bien.(Ou pas)


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  • "A Nelonie ou tout ceux qui ne m'entendent pas

     

    ce que je dis est si pitoyable, qu'il ne te vient pas l'esprit de me parler ou conter quelques de tes songes ? 

    On débute sur cette page si vide ? Je me tâche de la rendre intéressante à la lecture, au minima pour moi.  "

    Cette dernière phrase prend deux pages, et sur la seconde il y a une classification par euh race  fééerique qu'aurait pu être certains de mes personnages, (ils semblent humain en exemple : 

    Ceux qui pourraient être des démons seraient : Kywie, Kaderleser, ceux qui pourrait être à la ligné d'un dieu ou manifestation divine directe serait Stanislas, HimekaKyun. 

    Etc etc, évidement, l'histoire qui met en scène ces personnages reste "réaliste" Stanislas ou Kywie n'ont pas de pouvoir extraordinaire. Stanislas à un charisme prometteur, qu'elle utilise. Alors, la divinisé est ce que font d'autres personnages comme Sybil. 

     

    Je voulais ici retranscrire quelques phrases de mon carnet, et me voilà à parler de ces personnages. 

     

    Le titre "et sinon mettons le désordre" n'aurait pas sa place par ici, mais comme je suis dé"ordonner laissons le tranquille


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  • Evenement anodin = Moi verse l'eau bouillante sur ma main au lieu de la verser dans la tasse. "Haaaaaaaa" Douleur subite et intensequi s'en va à la fin du bruit. 

    "Je dois mettre de l'eau à ce moment ?" demandais je à mon ami "Non c'est bon" 

    Douleur parti qui finalement revient par Picotement. "ca me brûle" 

    "Mais va mettre de l'eau" rétorque mon ami. (Il pensait que je parlais de remettre de l'eau dans sa tasse, comme on en a l'habitude ) 

     

    Bref, au bout de 4 h je n'ai plus mal, sauf si j'y touche. 

    Et la brûlure est belle est bien douleur par picotement que l'on pourrait compter, ou décomptez ? 

     

    Evidement, je me suis deja renverser de l'eau un peu chaud, ou me renverser de l'huile bouillante, un megot de cigarette, une cigarette allumé, un gros coup de soleil. 

     

    Enfin, est-il important de classifié les douleurs ? Je refais allusion au "douleur picotante/ douleur intense" enfin ce qu'elles font des sens ces douleurs. 

     

    Je crois, que c'est s'en approcher de trop près. Moi l'état douleur, je l'évite (comme tous). 

     

     


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  • Il y a nombreuse chose que je n'arrive pas au premier coup (comme bcp de gens non ?) 

    J'ai toujours une question, si pour certain beaucoup de choses sont inées ? Ou est ce que certaines connaissance entraîne l'acquisition innée de d'autre ? Ou si tout est dur labeur  ? Ou petit mélange de tout et de rien. 

     

    Ce n'est peut être pas clair, mais je veux parler de tout et n'importe quoi. 

    Je ne peux que me prendre en exemple, alors voici, 

    -J'ai eu des cours de piano, plusieurs années. Et les morceaux que je connais encore "par coeur" sont ceux que j'ai perfectionner au plus et que aujourd'hui encore des fois je joue en boucle en boucle en boucle jusqu’à effacé tout surplu. Des fois à une fausse note, un mauvais timing je recommençais du début énervé contre moi même. Evidement que des fois, sans la force de détermination, je laisse échapper des erreurs car sinon, je ne dépasserais pas la première mesure. (Je n'ai pas définit la perfection alors comment saurais-je quand j'y serais ?) 

    Enfin, pour dire vrai , je n'ai que deux morceaux, issus de partitions que j'ai joué et rejoué à l'infini, que je peux joué en public sans honte. 

    (Honte loin derrière mon acharnement) 

    Evidement, qu'il y a d'autre morceau ou il ne manque seulement peu de travail pour qu'il y est substance. 

     

     

    -Enfin, un autre exemple de recommencer à l'infini et qui là par contre est si loin de mon attente. C'est le chant. Helas, en plus d'être timide et ne pas avoir découvert tout les tréfonds de ma voix, je n'ai ni le sens du rythme, ni une voix stable, ni une technique juste. Enfin, je pars de zero en quelque sorte, sans talent particulier à ce sujet. 

    Et retrouvé une phrase juste est si difficile pour moi, alors, rip mes voisins, ils m'arrivent également d'essayer de chanter 100 fois la même pharse ( sans forcement arriver quelque part)

     

    -Apprendre un texte par coeur, est aussi une lacune chez moi. J'ai oublié de perfectionner ma memoire, alors je n'ai que repeto et repetasse pour m'aiguiller. 

     

    -Dessiner un trait qui me convienne est aussi agacant, puisque me voila à gommer cent fois le même trait

     

    Voilà, en autopsychanise de ce que je raconte, il semblerait que sans technique, ce qu'il me vient est les repetasses helas cela n'aide pas , ou très lentement. Cela pourrait marcher, si dans mon caractère majoritaire, il y avait plus de perfectionnisme. Helas, j'abandonne souvent en me laissant porter sur un courant. Et tout comme les repetasses l'improvisation immature et irréfléchis tombe souvent en ruine, ou très aleatoirement parfois peut donner un bon résultat

     

     

    Vous comprenez bien que c'est un de mes noeuds de cerval ? Puisque, toujours pour moi il y a en opposition perfectionnisme ou abandon. Je ne vise même pas une stabilité; il y en a qui arrive à trouver la paix avec soi ? 

    On m'a dit, qu'il fallait etudier la philosophie pour se réconcillier avec soi. 

     

    J'ai décidé d'abandonner mais je ne sais plus pourquoi, j'ai décidé de me reprendre mais je ne sais pas pourquoi. 

    Volonté éloigné de mon corps. 

    Je suis encore en ce chaotique labyrinthe : Mais les issu de secours et les conseils que l'on ma donné sont si touffu, que faire des lignes droites autours de moi semble bloquer à jamais un autre..

    J'ai envie de me taper la tete contre un mur jusqu'à l’illumination. (Mais au moment ou j'approche ma tête du mur le choque est ralenti et ca ne marche pas bien ... ) 

     

    C'est hors propos , et il me semble qu'il ne faut pas dire ce genre de chose trop haut. 

    Alors, doucement, tout bas, n'écoutez pas mes mots disgracieux. 

    Remarquez moi, délimitez ma personne pas plus. Eloignez vous des nuages. Le soleil est rayonnant. J'apaise mes mots de facon familière. 

     

    Encore hors propos, j'effacerais le surplus plus  tard , à une autre lecture avec un autre oeil, d'une autre humeur.

    A bientot  

    [Re-edit : J'ai le sentiment qu'un oeil nouveau accompagné de son humeur est déjà passé par là x))) ] 


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  • Soyons clair , il y a premierement 

    -Le feu "KLAK" littéralement on clique ca fait clak, la flamme sort.

    puis, 

    -Les feus "roulette pierre", et là, traditionnellement du pouce, l'index (ou jusqu'à l'auriculaire) on déclanche la roulette. J'abrège au lieu d'être flou : la flamme sort.

    parmis les roulette et les klak on peut encore y cathégorisé bcp entre ce que je n'ai jamais croisé et que j'ai la flemme dénuméré entre des phrases sensés. Bon : bic, clipper, ciao, prof, sous-sous marques de je ne sais quelle entreprise.

     

    Bon, je galère à trier ces multiples narrations, bon. Je tiens un discours ? Je laisse ces phrases pour amusé ? Ca vous amuse pas je pense. Moi si, bon. Reprenons

     

     

     

    J'entretiens au pied de mon lit un cimetière de feu, qu'il m'arrive d'étudié, comme à cette heure précédente. Qu'il en soit par besoin d'une flamme, ou contemplation morbide.

     

     

    KLAK ALEA : 

    Ceux là ont souvent une seconde vie après un bon comma

    Seconde vie qui est soit une flamme qui s'évapore à jamais avant même d'avoir eut songé à plongé cette cigarette; Sois, lpngue vie qui fait plaisir.

    Ah et si le klakklak n'est pas cassé benef pour il portera grand appuis au gaz emfermer dans la roulette inchangeable, des bics par exemple.

     

    Bon, l'inedit de ce fait, sera disons dans l'assemblage des mots que j'ai ici utilisé


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